Lien: http://www.cyberpresse.ca/international/amerique-latine/201104/06/01-4387051-lagriculture-urbaine-au-secours-des-cubains.
Nelson Campanioni est le secrétaire exécutif du Programme National d’Agriculture Urbaine et Suburbaine qui a été lancée en 1997, avec comme but de concrétiser le concept d’autosuffisance alimentaire cubaine. Ce programme national consiste à multiplier les zones d’agricultures en ville. Les habitants sont donc encouragés à cultiver des fruits et légumes sur leur toit de résidence, par exemple. Parmi les produits qui font partie de ce programme, il y a les fruits, les légumes, les fleurs, les plantes vertes et médicinales, et les fertilisants naturels. Toute cette production avait pour objectif de produire 300 grammes de légumes et 60 grammes de fruits par jour/par habitant. Malheureusement, les résultats actuels atteignent seulement 10% des objectifs fixés. Les mauvaises récoltes seraient dû aux périodes de sécheresse, à la bureaucratie et, comme toujours, à l’embargo américain qui empêche les cubains de se procurer de la machinerie à meilleur prix pour leur agriculture. Malgré tout, selon M. Campanioni, le nombre de ferme en territoire cubain serait toujours en augmentation depuis quelques années. Il affirme qu’il y avait 50,000 fermes il y a de cela 3 ans, tandis qu’aujourd’hui, nous pourrions en compter 100,000.
Nelson Campanioni est le secrétaire exécutif du Programme National d’Agriculture Urbaine et Suburbaine qui a été lancée en 1997, avec comme but de concrétiser le concept d’autosuffisance alimentaire cubaine. Ce programme national consiste à multiplier les zones d’agricultures en ville. Les habitants sont donc encouragés à cultiver des fruits et légumes sur leur toit de résidence, par exemple. Parmi les produits qui font partie de ce programme, il y a les fruits, les légumes, les fleurs, les plantes vertes et médicinales, et les fertilisants naturels. Toute cette production avait pour objectif de produire 300 grammes de légumes et 60 grammes de fruits par jour/par habitant. Malheureusement, les résultats actuels atteignent seulement 10% des objectifs fixés. Les mauvaises récoltes seraient dû aux périodes de sécheresse, à la bureaucratie et, comme toujours, à l’embargo américain qui empêche les cubains de se procurer de la machinerie à meilleur prix pour leur agriculture. Malgré tout, selon M. Campanioni, le nombre de ferme en territoire cubain serait toujours en augmentation depuis quelques années. Il affirme qu’il y avait 50,000 fermes il y a de cela 3 ans, tandis qu’aujourd’hui, nous pourrions en compter 100,000.
L’éducation nord-américaine a toujours tenté de représenter le communiste comme étant une méthode non-valable. Cuba, qui subit les conséquences de l’embargo américain depuis maintenant presqu’un demi siècle, nous prouve que lorsque l’on croit réellement en quelque chose, il faut s’y accrocher. C’est actuellement le cas à Cuba, où le gouvernement est encore loin de vouloir s’entendre avec les États-Unis. L’embargo qui leur a été imposé les isolent du reste du monde. Le fait aussi d’apporter un programme de la sorte démontre, selon nous, une énorme preuve de courage, d’autonomie et de travail collectif. C’est étrangement un système qui ne ferait pas de mal à nos villes et à notre société nord-américaine, qui, avouons-nous le, est une société de surconsommation.
Source: CYBERPRESSE. (Page consulté le 6 avril 2011). L'agriculture urbaine au secours des cubains. [Enligne]. Adresse URL: http://www.cyberpresse.ca/international/amerique-latine/201104/06/01-4387051-lagriculture-urbaine-au-secours-des-cubains.php
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